9 février 2014
L’enfance surannée
Je vois enrubannée, dans les heures enfuies Et les lignes de pluies qui voilent les oublis, Et mes cheveux pâlis par le gris des années, Les chimères glanées aux histoires de nuit, Les espoirs qui s’enfuient de mon cœur affaibli par le corps en repli...